Hello {first_name},

C’est peut-être le proverbe le plus connu en France. On a tous entendu cette phrase : « Quand on veut, on peut ». 

Désolé de casser l’ambiance, mais ce n’est pas vrai dans l’absolu. C’est un raccourci un peu facile. 

Oui vouloir quelque chose est la base. Toute réalisation un tant soit peu ambitieuse part d’abord d’un désir. D’un « je veux », d’une projection. Puis, vient ensuite la mise en action. 

Je suis persuadé que comme moi, il y a déjà des choses que tu as désirées et que tu n’as pas obtenues. Cela montre bien les limites du concept. 

Non, il ne suffit pas de vouloir. Le vouloir te donne comme son nom l’indique de la volonté.

Si tu souhaites profondément que le « vouloir » te propulse vers le « pouvoir » de te réaliser alors tu ne peux pas te contenter d’un simple « je veux ».

Tu as besoin d’un « JE VEUX » absolument explosif ! 

Tu vois où je souhaite en venir, non ? Ça rejoint encore une fois cette histoire de pourquoi et de mission dont je te parlais précédemment. 

Quand les choses ont du sens pour toi de façon limpide et que cela te bouleverse émotionnellement alors le « Je veux » est totalement gonflé et dopé sous stéroïde !

Alors comment fais-tu pour faire grandir ton « je veux » ? 

Pour répondre à cette question, je vais t’en poser une.

À quand remonte la dernière fois où tu as eu le sentiment de reprendre le pouvoir sur ta vie ?

Tiens voici deux exemples récents qui me viennent de clientes qui ont repris le pouvoir justement.

• Dans mon programme BUSINESS : Une cliente qui ne savait absolument pas quoi faire professionnellement et qui ne voulait juste plus du salariat. Aujourd’hui elle a son propre Camping et ça cartonne.
• Dans mes coachings VIE : Une cliente qui a retrouvé confiance en elle et perdu une vingtaine de kilos en peu de temps. Elle a retrouvé son corps et prend plaisir à s’habiller aujourd’hui.

Mais quelle est donc leur recette ? 

Elles ont clarifié leurs pensées et se sont connectées à leurs désirs profonds.

Les questions auxquelles répondre pour les mettre en lumière sont du style : 

Qu’est-ce que tu désires par-dessus tout voir dans ta vie ? Qu’est-ce que cela t’apporte et te fais ressentir ?

Il y a deux mots clefs qui ressortent ici :

Voir = tu dois te projeter

Ressentir = tu dois utiliser tes émotions

J’utilise souvent avec mes clients les visualisations et les états modifiés de conscience sont très efficaces pour aider la connexion.

Mais, il n’y a pas de règle en la matière, peu importe l’outil en vrai. Le plus important est de toucher au bon endroit intensément.

Crois-tu que ces réussites se soient déroulées uniquement de manière douce et tranquille ? 

La réponse est NON 

Dans les deux cas, (et très probablement dans ton exemple) elles étaient connectées à un « je veux » tellement précis et puissant qu’elles ont été inarrêtables !

Cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas eu de difficultés, de moments de doutes et de douleurs.

Cela veut dire que le prix à payer pour arriver à leurs fins était devenu acceptable. Elles étaient OK toutes les 2 pour vivre les expériences nécessaires à leur réussite. 

Être connecté à ce qu’elles voulaient de manière juste et intense leur a donné le pouvoir de dépasser les obstacles et l’inconfort du chemin.

Elles ont voulu tellement fort qu’elles ont pu.

Quand tu te décourages en chemin, bien souvent, c’est que ton vouloir n’est pas au bon endroit ni suffisamment intense. 

Comme le dit un de mes mentors, « les gens rêvent d’être millionnaires, mais ne sont pas prêt à prendre TOUT ce que cela implique pour le devenir« 

Le fameux revers de la médaille : La masse de travail, renoncer aux distractions pour rester focus, faire des sacrifices au niveau du temps passé avec sa famille, gérer la pression, prendre des décisions complexes et/ou dures humainement. 

Alors quand on veut, on peut ?

Oui, mais avec une énergie puissante au départ pour te mettre en chemin.

Oui, mais avec une énergie attisée, entretenue pour persévérer malgré les doutes et difficultés.

Ainsi tu pourras espérer te réaliser. La bonne nouvelle, c’est que cela s’apprend.

A la semaine prochaine si nous le voulons tous les deux 😉

Arnaud